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Karim Amnos Narif

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Association « Imazighen n’Arif » Rue du Château 118 1050 ixelles BRUXELLES. [email protected] ‪+34 627 29 98 96‬ 31/12/2024 À l'attention de la Sous-Commission des droits de l'homme, Je vous adresse la présente plainte concernant la situation alarmante des droits de l'homme au Maroc, marquée par une répression systématique de la dissidence, des restrictions à la liberté de la presse, ainsi que par des actes de châtiments cruels, inhumains ou dégradants. Plusieurs rappeurs et militants, ont été condamnés par divers tribunaux marocains à des peines allant de six mois à quatre ans d'emprisonnement. Ces condamnations, prononcées pour des propos tenus sur les réseaux sociaux tels que YouTube et Facebook, illustrent une volonté manifeste d'étouffer la liberté d'expression et de criminaliser la critique à l'égard des autorités. De plus, il convient de souligner que les autorités ont eu recours à la torture et à la maltraitance envers des individus considérés comme critiques du régime, aggravant ainsi un climat de peur et de répression. Ces actions constituent non seulement des violations flagrantes des droits de l'homme, mais témoignent également d'une impunité persistante au sein des systèmes judiciaires marocains. Un exemple parlant de cette impunité réside dans les événements tragiques survenus le 24 juin 2022, lorsque les forces de sécurité marocaines et espagnoles ont fait usage d'une force excessive contre environ 2000 migrant·e·s d'Afrique subsaharienne tentant de franchir la frontière entre le Maroc et l'enclave espagnole de Melilla. À ce jour, aucune autorité n'a été tenue responsable de la mort d'au moins 37 migrant·e·s et de la disparition de 76 autres. La répression ne se limite pas aux artistes et militants ; au cours de cette année, au moins six personnes, dont des journalistes et un avocat, ont été condamnées pour avoir exprimé leurs opinions. Ce climat d’intolérance à l’égard de la liberté de parole sape les fondements d'une société démocratique. Je souhaite également attirer votre attention sur le cas de Mohamed Ziane, ancien ministre des droits de l'homme et défenseur des droits, condamné en 2022 à trois ans de prison ferme après une poursuite engagée par le ministère de l'Intérieur. Ziane a été jugé en grande partie en raison de ses opinions critiques envers le pouvoir, ce qui illustre le danger auquel sont confrontés ceux qui osent s'exprimer sur le sujet. Il est également pertinent de noter que malgré la grâce accordée récemment par le roi Mohamed VI à 2 476 détenus à l'occasion de la fête du Trône, une disparité raciale persiste. Les prisonniers politiques arabes ont été libérés alors que les Rifains, souvent marginalisés, restent derrière les barreaux. Cette situation souligne une discrimination systémique et un traitement inégal au sein du système judiciaire marocain. L'État marocain a réagi avec une répression violente aux manifestations pacifiques des citoyens du Rif, qui dénoncent des revendications légitimes d'ordre économique, social, culturel et environnemental. Les interventions des forces de l'ordre ont été marquées par une violence disproportionnée et une série d'arrestations arbitraires, en violation des normes internationales en matière de droits de l'homme, comme l'ont dénoncé des organismes tels que le Conseil National des Droits Humains. De plus, la restriction de l'accès des journalistes étrangers à ces événements, ainsi que les campagnes médiatiques orchestrées visant à discréditer les manifestants, témoignent d'une volonté d'opprimer toute forme de contestation. Je sollicite donc l'intervention urgente de la Sous-Commission des droits de l'homme pour examiner ces violations systématiques et chercher à garantir la protection des droits fondamentaux au Maroc. La situation nécessite une réponse appropriée et des actions significatives pour promouvoir la liberté d'expression, mettre fin à la répression et garantir la justice pour toutes les victimes d'abus. Je vous remercie pour l'att
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